Le marché de l’immobilier a changé, les délais de négociation se sont rallongés et les acheteurs, n’hésitent plus à en profiter pour exiger un rabais. Très favorable aux candidats à l’accession, cette nouvelle donne ne fait pas nécessairement la joie des vendeurs…
Le marché de l’immobilier a changé de rythme : en 2008, les délais de négociation se sont rallongés et les acheteurs, qui ont gagné en pouvoir de négociation, n’hésitent plus à profiter du moindre défaut du bien convoité pour exiger un rabais. Très favorable aux candidats à l’accession, cette nouvelle donne ne fait pas nécessairement la joie des vendeurs…
La solution pour les propriétaires ayant du mal à accepter la situation ?
Mettre leur bien en location.
« Un grand nombre de professionnels conseillent cette stratégie à leurs clients », reconnaît Henry Buzy-Cazaux, délégué général de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM). La technique, encore très peu répandue il y a quelques mois, a gagné en popularité à mesure que croissaient les tensions sur le marché de l’accession.
Dans certaines zones géographiques, il n’est pas rare que des logements restent plusieurs mois sans trouver preneur, une situation qui peut rapidement s’avérer très inconfortable pour les propriétaires.
« Pourtant, les besoins en logements existent, et s’ils ne sont pas résolus via l’acquisition d’un bien, ils peuvent l’être par le biais d’une location », reprend Henry Buzy-Cazaux.
La demande est très forte, et les propriétaires ne tardent généralement pas à trouver un locataire solvable. Si vous avez du mal à ajuster vos prétentions à la réalité du marché et si vous avez les moyens d’attendre, songez donc à location.
Cela vous permettra de conserver votre patrimoine tout en générant des revenus, jusqu’à ce que le marché reprenne de l’élan.
Et rappelez-vous que dans certains cas, il vaut mieux tenir que courir !
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